On viole une princesse…en la touchant des yeux
Le premier volet d’une trilogie ouvertement autobiographique réalisé par Eva Ionesco (My little princess, 2011) met en évidence la fonction de la photographie comme tentative de réponse à l’impasse posée par le féminin. Et ce alors que le double féminin, convoqué dans une mission de (re) création subjective, prend le…