Cadre de vie et malaise à vivre

Les villes que j’ai vues vivaient comme des folles « 
G. Apollinaire

Le 8 décembre 1973, invité à participer à la journée dont les matériaux sont ici rassemblés, je proposai aux débats des fragments d’un manuscrit alors quasi achevé. Ce travail, qui contribuait à la préparation du colloque de Grenoble « Pour un urbanisme » (6-7 avril 1974) a paru en février dans  » La Nouvelle Critique , remarquablement présenté et illustré par R. Déroché et C.R. Dityvon.
Ma réflexion est partie d’une circonstance celui de la télévision, a été saisi du problème de l’homme et la ville de façon percutante.
Dans la même soirée, le déjà célèbre ensemble de « La Grande Borne » à Grigny (Essonne) était présenté par son créateur, l’architecte E. Aillaud, puis mis en question sous le titre provocant « L’enfer du décor » par B. Gesbert et J. Fremontier, puis quelques minutes étaient données au maître d’œuvre qui y exprimait sa blessure narcissique.

Auteur
Bonnafé Lucien
Référence
RR19742-05
Expression et Signe, n°2, 1974
Catégories
Architecture
Psychiatrie
Sociologie