Ravi à soi-même par un choc émotionnel, un jeune homme évolue vers l’alcoolisme et la tentative de suicide par immolation.
Après le trauma du rapt, il reste le vide, brûlant… à remplir de quoi ? De brûlure ! Celle de l’alcool dans la bouche, dans la glotte, dans l’œsophage… mais pas assez visible, non celle du feu donc, qui laisse des traces indélébiles sur le visage et sur les mains, dans la mémoire corporelle.
Comment l’atelier d’art-thérapie est-il un support pour dépasser le trauma ? Le « traumatisme de la création » peut-il aider à renouer avec son processus créatif ?
La réparation peut-elle advenir par les retrouvailles avec l’insupportable?
L’Ex-Stase peut-elle faire revivre le Soi?
Le ravissement esthétique peut-il apporter une réponse au ravissement pathologique ?
Qu’en est-il de la régression esthétique ? Quel cheminement psychique peut-elle étayer ?
Autant de questions situées au cœur de l’art-thérapie, où le processus de création artistique devient un processus thérapeutique.
Pour lire le texte complet s’inscrire ou se connecter
Auteur |
---|
Irina Katz-Mazilu |
Référence |
---|
RA003-27 Ravissement Journées d’Automne 2012 |
Catégories |
---|
Art-thérapie Peinture Cas clinique |