S’il est bien établi que “les grandes impulsions perverses sont incompatibles avec les formes même élémentaires de l’art”, il n’en reste pas moins vrai que les pervers sexuels produisent volontiers des dessins érotiques, mais ces sujets cachent souvent leurs œuvres dont peu arrivent jusqu’au médecin.
Voici le cas d’un malade, observé dans le cadre d’une expertise psychiatrique, qui remit spontanément quelques dessins et aquarelles. Il avait été inculpé du chef de viols et incarcéré à la maison d’arrêt de Besançon.
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Auteur |
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Volmat Robert Cotte L. Allers G. |
Référence |
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RR19722-01 Expression et Signe, n°2, 1972 |
Catégories |
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Art-thérapie Dessin Étude de cas |