Les autorités provinciales d’une province rurale de 220.000 habitants construisent un hôpital psychiatrique de 180 lits pour desservir les besoins de leur population.
Un an après l’ouverture de cet hôpital, elles engagent une artiste-peintre pour ouvrir un atelier de peinture et d’arts plastiques en plus des ateliers à orientation ergothérapeutique ouverts antérieurement.
Pourquoi cette décision ?
A-t-elle eu des effets bénéfiques?
A-t-elle permis de préciser le rôle de l’activité picturale parmi les autres modalités d’expression?
Était-elle opportune pour des malades dont la majorité séjourne assez peu à l’hôpital (en moyenne entre 3 semaines et 3 mois) et qui représentent toute la gamme des affections psychiatriques. Dans quelle mesure « les activités » dans un hôpital concourent-elles à une réadaptation du malade, à un traitement?
C’est à ces différentes questions que les lignes qui suivent tentent de répondre.
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| Auteur |
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| Chantraine J. Willième R. |
| Référence |
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| RR19724-04 Expression et Signe, n°4, 1972 |
| Catégories |
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| Psychiatrie Art-thérapie Peinture Psychopathologie de l’expression Étude de cas |



