et articulation avec un jeu théâtral libre
L’introduction de l’expression corporelle, à l’Hôpital psychiatrique Château Picon de Bordeaux en 1974, a été consécutive à une première expérience en hôpital de jour commencée en 1972.
L’intégration de cette optique dans un pool psychothérapique, dès l’ouverture de l’hôpital de jour, nous avait paru suffisamment fructueuse pour que nous soyons tentés d’engager une expérience à l’hôpital psychiatrique.
Évidemment, la situation était quelque peu différente puisque nous passions d’un champ institutionnel restreint — à communicabilité optima — vers ce qu’il faut bien appeler un « no-man’s land », en ce qui concerne le repérage des soignants et des soignés.
L’atelier s’est fixé dans un des services de l’hôpital, le service du Centre Hospitalo-Universitaire (ce qui nous a valu quelques calomnies au départ, puisque certains ont parlé d’activité de pur prestige), adoptant d’emblée un fonctionnement rythmé par son ouverture à certaines heures de la semaine, avec deux animateurs (acteurs de formation) à temps partiel. Le recrutement n’a absolument pas été nosographié. Bien entendu, les sujets psychotiques semblent prédominer, ainsi que çe que l’on appelle communément les immaturités psycho-affectives graves.
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| Auteur |
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| Brousta Jean Walter G. Tieberghien G. |
| Référence |
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| RR19754-05 Expression et Signe, n°4, 1975 |
| Catégories |
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| Psychiatrie Théâtre Dispositif de médiation |



