La ville, machine à rêver l’errant
La vie à la rue est installation dans les marges et les flux (par exemple sur le talus du périphérique, sur le banc d’une gare). Tentative d’une mise en présence aux effets paradoxaux de l’autre au risque de la pente désymbolisante menant parfois jusqu’aux phénomènes les plus extrêmes d’auto-exclusion (Furtos).…