Ô mon Dieu ! j’en suis ravie. Aloïse et le « ricochet solaire »
« Mourant lentement d’un amour ineffable, que me suggère votre regard splendide rencontré par hasard à la Revue de Potsdam, 1913.Vous étiez étincelant des pieds à la tête, divinisé par le rayonnement splendide de votre cher visage… ! mon Dieu ! j’en suis ravie. »Croisant le regard de l’empereur, Aloïse,…