Le coup d’œil à la dérobée : regarder la musique

Barthélemy Jean-Marie / Cholat Simon / Mazoyer Anne-Valérie / Pérot Cécile / Rossigneux Guillaume

Notre réflexion procède d’une convergence fructueuse entre trois parcours: d’une musicienne, d’un photographe et d’un psychologue. À l’occasion de séquences musicales de rue, proposées sans nulle contrepartie par la violoncelliste au cœur de l’espace urbain, des échanges brefs ou soutenus de regards entre l’interprète et son auditoire ont revêtu une…

Du sujet de l’image à l’image du sujet

Loisel-Gardiennet Valérie

Médiation thérapeutique par la photographie en psychiatrie adulte Comment s’esquisse, se ponctue et se conclut le mouvement propre à la creation de photographies dans un contexte de soins.Afin de restituer une expérience, celle d’une médiation thérapeutique par la photographie en psychiatrie adulte, j’utiliserai une métaphore en évoquant deux séries de…

La médiation artistique auprès des sans-abris : un jeru de symbolisation

Geoffroy-Romane Carol / Sénégas Nicolas

Le propos s’articulera autour d’une expérience clinique en atelier à médiation par la photographie auprès de personnes sans-abri. Dans cet espace collectif contenant, la création de ces êtres « sans » engagea un travail de transformation de l’impensé, de l’impensable, en représentations acceptables pour le sujet lui-même (processus de symbolisation) ; et ouvrit…

Les trois fenêtres, une tâche inaugurale de psychothérapie par l’art-thérapie

De Lagausie Véronique

Habiter c’est être de quelque part. Du territoire familier à la chambre, les périmètres de nos enveloppes soutiennent notre psychisme comme des vêtements ou des peaux aux différentes fonctions (Anzieu, 1995). La fenêtre fait trouée de la paroi donnant à voir la solide épaisseur de celle-ci, laissant entrer le paysage,…

Co-errances, essai imagé d’autobiographie universelle

Barthélemy Jean-Marie

Choisie, méconnue ou subie, l’errance ne s’exerce jamais ni à l’avantage ni au risque d’une blanche solitude muette, mais traîne toujours derrière elle le cortège murmurant, rêveur, nostalgique, douloureux, parfois tragique, d’ombres quittées, perdues, abandonnées avant, espérées plus loin, ne serait-ce que dans l’échappée réflexive, délibérée ou fantomatique, de soi-même…

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